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la marraine des rencontres de dimanche sera Léna Arbia, miss Lot et Garonne 2025 , 2ème dauphine à l’élection de miss aquitaine , elle est moissagaise mais surtout fille de Jean-Philippe Arbia , ancien joueur de l’AM, ancien entraineur de l’AM et des suricates. Son oncle n’est autre que le secrétaire du Club Jean-Luc Arbia …
C’est elle qui donnera le coup d’envoi de la rencontre des seniors à 15h30
Dimanche 5 octobre, Léna Arbia, professeure des écoles originaire de Moissac (Tarn-et-Garonne) et Miss Lot-et-Garonne 2025, avait fait le voyage jusqu’au Futuroscope, dans le département de la Vienne. Le célèbre parc d’attractions à proximité de Poitiers accueillait le concours Miss Aquitaine 2025, dernière étape avant Miss France 2026.
La jeune femme, qui a terminé troisième du concours de beauté, ramène à la maison une écharpe de deuxième dauphine. Depuis 2012, c’est la quatrième fois que le 47 termine sur la troisième marche du podium du concours de beauté aquitain (2012, 2018, 2023 et donc 2025). « C’est vrai qu’on a pas mal d’écharpes de deuxième dauphine d’Aquitaine en Lot-et-Garonne », s’amuse Léna Arbia, contactée par nos soins. « Je n’y allais pas forcément pour l’écharpe ou la couronne, mais en ramener une est une immense fierté. Nous étions seize, et finir troisième est une belle finalité », ajoute la reine de beauté.
C’est la Basque Aïnhoa Lahitete qui remporte le titre régional et qui participera à l’épreuve nationale le 6 décembre prochain au Zénith d’Amiens. Sa première dauphine est la Girondine Solène Videau (Miss Bordeaux 2025), talonnée par Léna Arbia. Stéphanie Ain (51 ans), première dauphine du Lot-et-Garonne, avait également fait le déplacement dans la Vienne pour participer à Miss Aquitaine 2025.
"Étonnamment, je n’ai ressenti aucun stress"
Au lendemain de l’événement, Léna Arbia n’est toujours pas redescendue de son petit nuage. « J’ai vécu un week-end incroyable, une aventure pleine de belles rencontres et de moments intenses, s’exclame la jeune femme. Étonnamment, je n’ai ressenti aucun stress, juste de l’envie. J’étais impatiente d’y être et j’ai adoré chaque instant sur scène. »
D’une nature timide, la Moissagaise de 28 ans, qui vit en Lot-et-Garonne depuis huit ans, s’est montrée très à l’aise sur scène. Et elle s’est impressionnée elle-même lors du concours de beauté.
« Je suis habituellement très anxieuse, confie cette dernière. Parler devant des gens et être jugée, ce n’est pas facile pour moi. Mais là, j’étais sereine. J’étais à l’aise avec tout ce qui se passait. Je suis habituée à être sur scène grâce à la danse. J’ai beaucoup dansé depuis petite, donc les galas et concours, je connais. Depuis Miss Lot-et-Garonne, j’ai eu le temps de me préparer, de parler à beaucoup de monde, ce qui m’a donné confiance. »
"C’est prenant, mais tellement positif"
De retour dans le 47, l’institutrice va continuer à assurer son rôle de Miss Lot-et-Garonne à travers le département. Une aventure d’une année qui fut riche en expériences. « Je vais continuer à participer à des événements en tant que Miss Lot-et-Garonne jusqu’à la prochaine élection en janvier. C’était intense. Mais on nous prévient dès le début, donc j’étais prête à vivre de nouvelles choses. C’est prenant, mais tellement positif que je ne vois pas le négatif. Et j’ai été très bien encadrée par le comité. Ce n’était que de la bienveillance. J’ai fait de belles rencontres. »
Et, quand elle aura passé sa couronne de Miss Lot-et-Garonne à une autre en janvier prochain, pourquoi ne pas s’impliquer dans l’organisation de concours de beauté ? « J’adorerais. Avec la danse, j’aime tout ce qui est spectacle, maquillage, coiffure. Passer de l’autre côté serait un prolongement de cette aventure. »
